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historique
Club historique du rugby français depuis 1902, la Section d’aujourd’hui s’est forgée à travers des décennies riches en épopées sportives et humaines. Plongez dans l’histoire du club en parcourant les grandes époques qui ont marqué son évolution.
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1902-1928 LES ORIGINES

1929-1964 L’ÂGE D’OR

1965-1994 LA RÉSILIENCE

1995-2015 LA RECONQUÊTE

2016-2025 LA RELÈVE
1902-1928
Les Origines
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SWIPE
Il était une fois, au pied des Pyrénées, une petite cité béarnaise où l’on apprenait à courir, un ballon à la main. Ce sont des convictions de Phillipe Tissié, docteur qui se dédie à la mission d’éduquer par le sport, que naît la Ligue Girondine d’éducation physique. Dans cette Ligue on pratique principalement la barette, l’ancêtre du rugby, faisant de Pau, une place forte de cette pratique.
Quelques années plus tard, la Ligue Girondine absorbe le Stade Palois, afin de devenir la « Section Paloise de la Ligue Girondine ». Un nom choisi pour rappeler ses aspirations multiples : l’athlétisme et la barette. Mais pas de doute, au cœur de la cité paloise, c’est bien le rugby qui retentit. Établis au « Champ Bourda », c’est sur cette plaine de jeux que verra le jour la belle histoire du rugby béarnais. Au fil des années, les fondations d’un grand club s’établissent. Un nom est retenu, et avec lui des couleurs. Tom Potter, Fernand Taillantou et Henri Sallenave, des personnalités fortes se font remarquer, faisant grandir les ambitions et attirer les premières consécrations.
La Section Paloise soulève son premier Bouclier de France, une victoire gravée dans les mémoires marquant le coup d’envoi d’une grande histoire.
Quelques années plus tard, la Ligue Girondine absorbe le Stade Palois, afin de devenir la « Section Paloise de la Ligue Girondine ». Un nom choisi pour rappeler ses aspirations multiples : l’athlétisme et la barette. Mais pas de doute, au cœur de la cité paloise, c’est bien le rugby qui retentit. Établis au « Champ Bourda », c’est sur cette plaine de jeux que verra le jour la belle histoire du rugby béarnais. Au fil des années, les fondations d’un grand club s’établissent. Un nom est retenu, et avec lui des couleurs. Tom Potter, Fernand Taillantou et Henri Sallenave, des personnalités fortes se font remarquer, faisant grandir les ambitions et attirer les premières consécrations.
La Section Paloise soulève son premier Bouclier de France, une victoire gravée dans les mémoires marquant le coup d’envoi d’une grande histoire.
1902
La Section Paloise de Ligue Girondine voit le jour.

1905
Le club se détache de la Ligue girondine pour devenir la « Section Paloise ».
Ce n’est qu’en 1912 qu’elle adoptera définitivement ses couleurs : le Vert et le Blanc.
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1910
La Section Paloise s’installe au stade historique de la Croix du Prince.

1922
Les Béarnais atteignent pour la première fois les phases finales du Championnat de France.

1928
Le club marque pour la première fois son nom au palmarès en décrochant le titre de Champion de France face au club de Quillan (6-4 à Toulouse).

1929-1964
L’ÂGE D’OR

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C’est une Section en pleine expansion qui foule le terrain de la Croix du Prince. Un terrain mythique pour les Palois, racheté par les dirigeants du club.
À ses débuts, malgré efforts et dévouement, les Béarnais ne parvenaient pas accéder au dernier carré du Championnat de France. Les demi-finales se succèdent mais n’aboutissent pas. Les Vert et Blanc ne parviennent pas à atteindre les finales.
À la Libération, une génération étincelante voit le jour, prête à faire trembler le rugby français. Les victoires s’enchaînent, la Section est à son apogée. Un puis deux Challenges Yves-du-Manoir remportés en 1939 puis 1952, un deuxième titre de Champion de France (1946), puis un troisième (1964).
Poussant la performance à son maximum, cette période restera dans les esprits comme la conquête de deux frères. Celle des frères Cazenave, indissociables de l’histoire du club : joueurs, entraîneurs et même président pour l’aîné Albert. Ils ont porté fièrement les couleurs paloises, accompagnés d’une belle génération parmi laquelle on retrouve : Jean-Pierre Saux, François Moncla, Jean Piqué, “Nano” Capdouze, Pierre Aristouy, Robert Labarthette ou encore Charles Lagarde, président emblématique de la Section Paloise (1932-1952).
À ses débuts, malgré efforts et dévouement, les Béarnais ne parvenaient pas accéder au dernier carré du Championnat de France. Les demi-finales se succèdent mais n’aboutissent pas. Les Vert et Blanc ne parviennent pas à atteindre les finales.
À la Libération, une génération étincelante voit le jour, prête à faire trembler le rugby français. Les victoires s’enchaînent, la Section est à son apogée. Un puis deux Challenges Yves-du-Manoir remportés en 1939 puis 1952, un deuxième titre de Champion de France (1946), puis un troisième (1964).
Poussant la performance à son maximum, cette période restera dans les esprits comme la conquête de deux frères. Celle des frères Cazenave, indissociables de l’histoire du club : joueurs, entraîneurs et même président pour l’aîné Albert. Ils ont porté fièrement les couleurs paloises, accompagnés d’une belle génération parmi laquelle on retrouve : Jean-Pierre Saux, François Moncla, Jean Piqué, “Nano” Capdouze, Pierre Aristouy, Robert Labarthette ou encore Charles Lagarde, président emblématique de la Section Paloise (1932-1952).
1939
Coup d’envoi d’une série de titres avec une première victoire de la Section dans le Challenge Yves-du-Manoir contre Toulon (5 à 0).

1946
Nos Béarnais s’offrent un deuxième titre de Champion de France en première division. Victoire 11 à 0 face à Lourdes au Parc des Princes (Paris).

1952
La Section arrache une deuxième victoire en challenge Yves-du-Manoir à la Croix du Prince : 3-0 contre Clermont-Ferrand.

1961
Première édition du Challenge Béguère que la Section remporte 9 à 5 face au FC Lourdes.

1964
Le club est sacré pour la troisième fois, Champion de France face à Béziers (14-0 à Toulouse) grâce à deux essais de Jean Capdouze.

1965-1994
LA RÉSILIENCE
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À l’aube d’une nouvelle page de l’histoire de la Section, un ciel menaçant se dessine. Pour autant, le club ne faiblit pas. Malgré les difficultés sportives, l’instabilité financière ou la furtive descente en groupe B en 1977, l’espoir d’un nouvel horizon survit.
Dans ces moments où tout semble aller à l’encontre des ambitions, la Section peut compter sur la force de ses hommes, l’engagement de ceux qui font le club et qui l'entourent.
Des joueurs comme Christian Loustaudine, Marc Etcheverry, Sylvain Bourbon, Jean-Claude Castagnet, Michel Ollé, Laurent Cabannes, Michel Bruel, Jean-Bernard Duplantier, ou le Roumain Hari Dumitras, poseront les fondations pour la future génération.
Cette époque retiendra leur courage, celui qui permit au club de rêver de jours meilleurs.
Bien que collectivement, l’équipe ne performe pas au niveau de ses espérances, individuellement, on assiste à des révélations. Et notamment celle de la légende Robert Paparemborde.
Puis finalement, la découverte d’un stade, synonyme d’un nouveau souffle pour une Section aux grandes aspirations.
Dans ces moments où tout semble aller à l’encontre des ambitions, la Section peut compter sur la force de ses hommes, l’engagement de ceux qui font le club et qui l'entourent.
Des joueurs comme Christian Loustaudine, Marc Etcheverry, Sylvain Bourbon, Jean-Claude Castagnet, Michel Ollé, Laurent Cabannes, Michel Bruel, Jean-Bernard Duplantier, ou le Roumain Hari Dumitras, poseront les fondations pour la future génération.
Cette époque retiendra leur courage, celui qui permit au club de rêver de jours meilleurs.
Bien que collectivement, l’équipe ne performe pas au niveau de ses espérances, individuellement, on assiste à des révélations. Et notamment celle de la légende Robert Paparemborde.
Puis finalement, la découverte d’un stade, synonyme d’un nouveau souffle pour une Section aux grandes aspirations.
1970
Victoire des Palois dans le Challenge Béguère, remporté 17 à 13 contre le Stade Toulousain.
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1974
Pau retrouve les demi-finales du Championnat de France face au RC Narbonne.
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1977
Vivant une période instable depuis une douzaine d’années, l’équipe est rétrogradée en groupe B.
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1989-1990
La Section rejoue les premiers rôles en disputant deux finales de championnat de France du groupe B. Une première en 1989 contre Castres Olympiques et une seconde en 1990 face au Stade Montchaninois.
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1990
Nos Palois quittent le mythique terrain de la Croix du Prince pour un nouvelle antre : le stade du Hameau. Pour son premier match, la Section jouant le Challenge Yves du Manoir, s’incline 0 à 12 face à CA Bègles Bordeaux.
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1995-2015
LA RECONQUÊTE
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Entre la découverte du rugby professionnel, la course aux plus grands titres ou un passage en deuxième division, la Section a dû jouer les cartes de la polyvalence et de la persévérance pour continuer de briller.
Une période de reconstruction s'ouvre alors que le club s'installe dans un nouveau stade : au Hameau.
À force de discipline et de détermination, la récompense n'est pas loin. Une génération dorée se dévoile sur le sol béarnais et parmi elle, de grands noms : Damien Traille, Nicolas Brusque, Philipe Bernat-Salles, Joël Rey, Frédéric Torossian, Thierry Cléda, David Dantiacq, Pierre Triep-Capdeville, David Aucagne ou encore Imanol Harinordoquy.
Sur son passage, les sacres s'enchaînent : Challenge Européen (2000), victoire en Challenge Yves-du-Manoir (1997) et entrée en H-Cup (1996). Rien ne semble l'arrêter. De belles performances en un temps record, il est rare de trouver une génération qui marque autant l'histoire d'un club.
La Section renaît donc de ses cendres. Peu à peu, elle réaffirme sa place dans le rugby français et défend vaillamment son identité. Par la naissance d'une mascotte, la création d'un hymne et un changement de nom, elle rend honneur au territoire qui l'a vue éclore.
Une période de reconstruction s'ouvre alors que le club s'installe dans un nouveau stade : au Hameau.
À force de discipline et de détermination, la récompense n'est pas loin. Une génération dorée se dévoile sur le sol béarnais et parmi elle, de grands noms : Damien Traille, Nicolas Brusque, Philipe Bernat-Salles, Joël Rey, Frédéric Torossian, Thierry Cléda, David Dantiacq, Pierre Triep-Capdeville, David Aucagne ou encore Imanol Harinordoquy.
Sur son passage, les sacres s'enchaînent : Challenge Européen (2000), victoire en Challenge Yves-du-Manoir (1997) et entrée en H-Cup (1996). Rien ne semble l'arrêter. De belles performances en un temps record, il est rare de trouver une génération qui marque autant l'histoire d'un club.
La Section renaît donc de ses cendres. Peu à peu, elle réaffirme sa place dans le rugby français et défend vaillamment son identité. Par la naissance d'une mascotte, la création d'un hymne et un changement de nom, elle rend honneur au territoire qui l'a vue éclore.
1996
La Section fait son entrée dans la grande Coupe d'Europe, la « Heineken Cup », connue aujourd'hui sous le nom de « Champions Cup ».
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1997
Elle est l'une des premières dans le monde rugbystique : Bearny, mascotte symbole de tout un territoire fait sa première apparition !
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1997
Un trophée de plus en compétition nationale avec la troisième victoire paloise en Challenge Yves du Manoir, devenant lors de cette même saison la « Coupe de France ».
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1998
La Section passe sous statut professionnel en devenant la première Société Anonyme à Objet Sportif (SAOS) du rugby français.
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2000
L'heure est au sacre continental, le club remporte le Challenge Européen face à Castres à Toulouse (34-21).
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2005
Les Vert Blanc accèdent une nouvelle fois à la finale du Challenge Européen mais s’inclinent face aux Sales Sharks.

2006
Malgré une belle ascension en Challenge Européen, le club est relégué en deuxième division (PRO D2) à l’issue de la saison 2005-2006.

2006
Bernard Pontneau prend la Présidence de la Section durant la saison 2006-2007, il succède à Joachim Alvarez.

2012
La structure professionnelle devient la Section Paloise Béarn Pyrénées : le club de tout un territoire. Cette même année, la Honhada, hymne emblématique du club, retentit pour la première fois au Hameau.

2015
La Section domine largement la PRO D2 et est sacrée Championne de France. Le club retrouve la 1ère division.

2016-2025
LA RELÈVE

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Cette période est marquée par le retour de la Section en 1ère division, sa pérennisation et le développement du projet club. Les Vert et Blanc découvrent le TOP 14, qu’ils avaient connu sous la forme d’un TOP 16 à l’époque. Un groupe expérimenté porte l’équipe sur les premières années avec des joueurs emblématiques tels que Julien Fumat, Jale Vatubua, Julien Pierre, James Coughlan ou encore les Néo-Zélandais Conrad Smith, Colin Slade et Daniel Ramsay.
Une nouvelle génération fait peu à peu son apparition à l’image de Thibault Daubagna et Lucas Rey qui sont de véritables enfants du club. La relève se matérialise peu à peu avec le projet sportif porté par Sébastien Piqueronies et la gouvernance du club autour de jeunes talents qui vont très rapidement éclore (Emilien Gailleton, Hugo Auradou, Théo Attissogbe, Fabien Brau-Boirie…) jusqu’à devenir internationaux.
Au-delà de performances honorables dans le meilleur championnat du monde, le club se développe notamment au niveau de ses infrastructures et de sa formation, faisant de la Section une équipe de patience et d’ambition, puisant sa force dans son identité locale.
Une nouvelle génération fait peu à peu son apparition à l’image de Thibault Daubagna et Lucas Rey qui sont de véritables enfants du club. La relève se matérialise peu à peu avec le projet sportif porté par Sébastien Piqueronies et la gouvernance du club autour de jeunes talents qui vont très rapidement éclore (Emilien Gailleton, Hugo Auradou, Théo Attissogbe, Fabien Brau-Boirie…) jusqu’à devenir internationaux.
Au-delà de performances honorables dans le meilleur championnat du monde, le club se développe notamment au niveau de ses infrastructures et de sa formation, faisant de la Section une équipe de patience et d’ambition, puisant sa force dans son identité locale.
2015-2016
La Section découvre le TOP 14. Neuf saisons plus tard, le club retrouve une première division qui ne contient plus que 14 clubs, et non 16, comme le club l’avait laissée en 2007.

2017
Réhabilitation du stade du Hameau avec l’apparition d’une nouvelle tribune Nord et l’agrandissement de la tribune Est (création d’un étage et extension des côtés).
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2018
Retour de l’équipe sur la scène européenne avec une demi-finale de Challenge Européen à Cardiff.

2021
Arrivée de Sébastien Piqueronies en tant que manager sportif.
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2024
Le club affiche une nouvelle signature « Conquérants en Vert et Blanc » mêlant ambitions et ancrage identitaire.

2025
La saison 24-25 marque l'avancée du projet palois avec à la clé une 8e place synonyme de qualification en Champions Cup pour la saison à venir. Une première pour la Section depuis 25 ans.

Club historique du rugby français depuis 1902, la Section d’aujourd’hui s’est forgée à travers des décennies riches en épopées sportives et humaines. Plongez dans l’histoire du club en parcourant les grandes époques qui ont marqué son évolution.
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1902-1928 LES ORIGINES

1929-1964 L’ÂGE D’OR

1965-1994 LA RÉSILIENCE

1995-2015 LA RECONQUÊTE

2016-2025 LA RELÈVE
1902-1928
Les Origines
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SWIPE
Il était une fois, au pied des Pyrénées, une petite cité béarnaise où l’on apprenait à courir, un ballon à la main. Ce sont des convictions de Phillipe Tissié, docteur qui se dédie à la mission d’éduquer par le sport, que naît la Ligue Girondine d’éducation physique. Dans cette Ligue on pratique principalement la barette, l’ancêtre du rugby, faisant de Pau, une place forte de cette pratique.
Quelques années plus tard, la Ligue Girondine absorbe le Stade Palois, afin de devenir la « Section Paloise de la Ligue Girondine ». Un nom choisi pour rappeler ses aspirations multiples : l’athlétisme et la barette. Mais pas de doute, au cœur de la cité paloise, c’est bien le rugby qui retentit. Établis au « Champ Bourda », c’est sur cette plaine de jeux que verra le jour la belle histoire du rugby béarnais.Au fil des années, les fondations d’un grand club s’établissent. Un nom est retenu, et avec lui des couleurs. Tom Potter, Fernand Taillantou et Henri Sallenave, des personnalités fortes se font remarquer, faisant grandir les ambitions et attirer les premières consécrations.
La Section Paloise soulève son premier Bouclier de France, une victoire gravée dans les mémoires marquant le coup d’envoi d’une grande histoire.
Quelques années plus tard, la Ligue Girondine absorbe le Stade Palois, afin de devenir la « Section Paloise de la Ligue Girondine ». Un nom choisi pour rappeler ses aspirations multiples : l’athlétisme et la barette. Mais pas de doute, au cœur de la cité paloise, c’est bien le rugby qui retentit. Établis au « Champ Bourda », c’est sur cette plaine de jeux que verra le jour la belle histoire du rugby béarnais.Au fil des années, les fondations d’un grand club s’établissent. Un nom est retenu, et avec lui des couleurs. Tom Potter, Fernand Taillantou et Henri Sallenave, des personnalités fortes se font remarquer, faisant grandir les ambitions et attirer les premières consécrations.
La Section Paloise soulève son premier Bouclier de France, une victoire gravée dans les mémoires marquant le coup d’envoi d’une grande histoire.
1902
La Section Paloise de Ligue Girondine voit le jour

1905
Le club se détache de la Ligue girondine pour devenir la « Section Paloise ».
Ce n’est qu’en 1912 qu’elle adoptera définitivement ses couleurs : le Vert et le Blanc.
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1910
La Section Paloise s’installe au stade historique de la Croix du Prince.

1922
Les Béarnais atteignent pour la première fois les phases finales du championnat de France.

1928
Le club marque pour la première fois son nom au palmarès en décrochant le titre de Champion de France face au club de Quillan (6-4 à Toulouse).

1929-1964
L’ÂGE D’OR

SWIPE
SWIPE
C’est une Section en pleine expansion qui foule le terrain de la Croix du Prince. Un terrain mythique pour les Palois, racheté par les dirigeants du club.
À ses débuts, malgré efforts et dévouement, les Béarnais ne parvenaient pas accéder au dernier carré du Championnat de France. Les demi-finales se succèdent mais n’aboutissent pas. Les Vert et Blanc ne parviennent pas à atteindre les finales.
À la Libération, une génération étincelante voit le jour, prête à faire trembler le rugby français. Les victoires s’enchaînent, la Section est à son apogée. Un puis deux challenges Yves-du-Manoir remportés en 1939 puis 1952, un deuxième titre de Champion de France (1946), puis un troisième (1964).
Poussant la performance à son maximum, cette période restera dans les esprits comme la conquête de deux frères. Celle des frères Cazenave, indissociables de l’histoire du club : joueurs, entraîneurs et même président pour l’aîné Albert. Ils ont porté fièrement les couleurs paloises, accompagnés d’une belle génération parmi laquelle on retrouve : Jean-Pierre Saux, François Moncla, Jean Piqué, “Nano” Capdouze, Pierre Aristouy, Robert Labarthette ou encore Charles Lagarde, président emblématique de la Section Paloise (1932-1952).
À ses débuts, malgré efforts et dévouement, les Béarnais ne parvenaient pas accéder au dernier carré du Championnat de France. Les demi-finales se succèdent mais n’aboutissent pas. Les Vert et Blanc ne parviennent pas à atteindre les finales.
À la Libération, une génération étincelante voit le jour, prête à faire trembler le rugby français. Les victoires s’enchaînent, la Section est à son apogée. Un puis deux challenges Yves-du-Manoir remportés en 1939 puis 1952, un deuxième titre de Champion de France (1946), puis un troisième (1964).
Poussant la performance à son maximum, cette période restera dans les esprits comme la conquête de deux frères. Celle des frères Cazenave, indissociables de l’histoire du club : joueurs, entraîneurs et même président pour l’aîné Albert. Ils ont porté fièrement les couleurs paloises, accompagnés d’une belle génération parmi laquelle on retrouve : Jean-Pierre Saux, François Moncla, Jean Piqué, “Nano” Capdouze, Pierre Aristouy, Robert Labarthette ou encore Charles Lagarde, président emblématique de la Section Paloise (1932-1952).
1939
Coup d’envoi d’une série de titres avec une première victoire de la Section dans le challenge Yves-du-Manoir contre Toulon (5 à 0).

1946
Nos Béarnais s’offrent un deuxième titre de Champion de France en première division. Victoire 11 à 0 face à Lourdes au Parc des Princes (Paris).

1952
La Section arrache une deuxième victoire en challenge Yves-du-Manoir à la Croix du Prince : 3-0 contre Clermont-Ferrand.

1961
Première édition du Challenge Béguère que la Section remporte 9 à 5 face au FC Lourdes.

1964
Le club est sacré pour la troisième fois, Champion de France face à Béziers (14-0 à Toulouse) grâce à deux essais de Jean Capdouze.

1965-1994
LA RÉSILIENCE

SWIPE
SWIPE
À l’aube d’une nouvelle page de l’histoire de la Section, un ciel menaçant se dessine.Pour autant, le club ne faiblit pas. Malgré les difficultés sportives, l’instabilité financière ou la furtive descente en groupe B en 1977, l’espoir d’un nouvel horizon survit.
Dans ces moments où tout semble aller à l’encontre des ambitions, la Section peut compter sur la force de ses hommes, l’engagement de ceux qui font le club et qui l'entourent.
Des joueurs comme Christian Loustaudine, Marc Etcheverry, Sylvain Bourbon, Jean-Claude Castagnet, Michel Ollé, Laurent Cabannes, Michel Bruel, Jean-Bernard Duplantier, ou le Roumain Hari Dumitras, poseront les fondations pour la future génération.
Cette époque retiendra leur courage, celui qui permit au club de rêver de jours meilleurs.
Bien que collectivement, l’équipe ne performe pas au niveau de ses espérances, individuellement, on assiste à des révélations. Et notamment celle de la légende Robert Paparemborde.
Puis finalement, la découverte d’un stade, synonyme d’un nouveau souffle pour une Section aux grandes aspirations.
Dans ces moments où tout semble aller à l’encontre des ambitions, la Section peut compter sur la force de ses hommes, l’engagement de ceux qui font le club et qui l'entourent.
Des joueurs comme Christian Loustaudine, Marc Etcheverry, Sylvain Bourbon, Jean-Claude Castagnet, Michel Ollé, Laurent Cabannes, Michel Bruel, Jean-Bernard Duplantier, ou le Roumain Hari Dumitras, poseront les fondations pour la future génération.
Cette époque retiendra leur courage, celui qui permit au club de rêver de jours meilleurs.
Bien que collectivement, l’équipe ne performe pas au niveau de ses espérances, individuellement, on assiste à des révélations. Et notamment celle de la légende Robert Paparemborde.
Puis finalement, la découverte d’un stade, synonyme d’un nouveau souffle pour une Section aux grandes aspirations.
1970
Victoire des Palois dans le Challenge Béguère, remporté 17 à 13 contre le Stade Toulousain.
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1974
Pau retrouve les demi-finales du Championnat de France face au RC Narbonne.

1977
Vivant une période instable depuis une douzaine d’années, l’équipe est rétrogradée en groupe B.
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1989-1990
La Section rejoue les premiers rôles en disputant deux finales de championnat de France du groupe B. Une première en 1989 contre Castres Olympiques et une seconde en 1990 face au Stade Montchaninois.

1990
Nos Palois quittent le mythique terrain de la Croix du Prince pour une nouvelle antre : le stade du Hameau. Pour son premier match, la Section jouant le challenge du Manoir, s’incline 0 à 12 face à Bordeaux Bègles.
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1995-2015
LA RECONQUÊTE

SWIPE
SWIPE
Entre la découverte du rugby professionnel, la course aux plus grands titres ou un passage en deuxième division, la Section a dû jouer les cartes de la polyvalence et de la persévérance pour continuer de briller.
Une période de reconstruction s'ouvre alors que le club s'installe dans un nouveau stade : au Hameau.
À force de discipline et de détermination, la récompense n'est pas loin. Une génération dorée se dévoile sur le sol béarnais et parmi elle, de grands noms : Damien Traille, Nicolas Brusque, Philipe Bernat-Salles, Joël Rey, Frédéric Torossian, Thierry Cléda, David Dantiacq, Pierre Triep-Capdeville, David Aucagne ou encore Imanol Harinordoquy.
Sur son passage, les sacres s'enchaînent : Challenge Européen (2000), victoire en Challenge Yves-du-Manoir (1997) et entrée en H-Cup (1996). Rien ne semble l'arrêter. De belles performances en un temps record, il est rare de trouver une génération qui marque autant l'histoire d'un club.
La Section renaît donc de ses cendres. Peu à peu, elle réaffirme sa place dans le rugby français et défend vaillamment son identité. Par la naissance d'une mascotte, la création d'un hymne et un changement de nom, elle rend honneur au territoire qui l'a vue éclore.
Une période de reconstruction s'ouvre alors que le club s'installe dans un nouveau stade : au Hameau.
À force de discipline et de détermination, la récompense n'est pas loin. Une génération dorée se dévoile sur le sol béarnais et parmi elle, de grands noms : Damien Traille, Nicolas Brusque, Philipe Bernat-Salles, Joël Rey, Frédéric Torossian, Thierry Cléda, David Dantiacq, Pierre Triep-Capdeville, David Aucagne ou encore Imanol Harinordoquy.
Sur son passage, les sacres s'enchaînent : Challenge Européen (2000), victoire en Challenge Yves-du-Manoir (1997) et entrée en H-Cup (1996). Rien ne semble l'arrêter. De belles performances en un temps record, il est rare de trouver une génération qui marque autant l'histoire d'un club.
La Section renaît donc de ses cendres. Peu à peu, elle réaffirme sa place dans le rugby français et défend vaillamment son identité. Par la naissance d'une mascotte, la création d'un hymne et un changement de nom, elle rend honneur au territoire qui l'a vue éclore.
1996
La Section fait son entrée dans la grande Coupe d'Europe, la « Heineken Cup », connue aujourd'hui sous le nom de « Champions Cup ».
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1997
Elle est l'une des premières dans le monde rugbystique : Bearny, mascotte symbole de tout un territoire fait sa première apparition !
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1997
Un trophée de plus en compétition nationale avec la troisième victoire paloise en ChallengeYves-du-Manoir, devenant lors de cette même saison la « Coupe de France ».
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1998
La Section passe sous statut professionnel en devenant la première Société Anonyme à Objet Sportif (SAOS) du rugby français.

2000
L'heure est au sacre continental, le club remporte le Challenge Européen face à Castres à Toulouse (34-21).
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2005
Les Vert Blanc accèdent une nouvelle fois à la finale du Challenge Européen mais s’inclinent face aux Sales Sharks.

2006
Malgré une belle ascension en Challenge Européen, le club est relégué en deuxième division (PRO D2) à l’issue de la saison 2005-2006.

2006
Bernard Pontneau prend la Présidence de la Section durant la saison 2006-2007, il succède à Joachim Alvarez.

2012
La structure professionnelle devient la Section Paloise Béarn Pyrénées : le club de tout un territoire. Cette même année, la Honhada, hymne emblématique du club, retentit pour la première fois au Hameau.

2015
La Section domine largement la PRO D2 et est sacrée Championne de France. Le club retrouve la 1ère division.

2016-2025
LA RELÈVE

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SWIPE
Cette période est marquée par le retour de la Section en 1ère division, sa pérennisation et le développement du projet club. Les Vert et Blanc découvrent le TOP 14, qu’ils avaient connu sous la forme d’un TOP 16 à l’époque. Un groupe expérimenté porte l’équipe sur les premières années avec des joueurs emblématiques tels que Julien Fumat, Jale Vatubua, Julien Pierre, James Coughlan ou encore les Néo-Zélandais Conrad Smith, Colin Slade et Daniel Ramsay.
Une nouvelle génération fait peu à peu son apparition à l’image de Thibault Daubagna et Lucas Rey qui sont de véritables enfants du club. La relève se matérialise peu à peu avec le projet sportif porté par Sébastien Piqueronies et la gouvernance du club autour de jeunes talents qui vont très rapidement éclore (Emilien Gailleton, Hugo Auradou, Théo Attissogbe, Fabien Brau-Boirie…) jusqu’à devenir internationaux.
Au-delà de performances honorables dans le meilleur championnat du monde, le club se développe notamment au niveau de ses infrastructures et de sa formation, faisant de la Section une équipe de patience et d’ambition, puisant sa force dans son identité locale.
Une nouvelle génération fait peu à peu son apparition à l’image de Thibault Daubagna et Lucas Rey qui sont de véritables enfants du club. La relève se matérialise peu à peu avec le projet sportif porté par Sébastien Piqueronies et la gouvernance du club autour de jeunes talents qui vont très rapidement éclore (Emilien Gailleton, Hugo Auradou, Théo Attissogbe, Fabien Brau-Boirie…) jusqu’à devenir internationaux.
Au-delà de performances honorables dans le meilleur championnat du monde, le club se développe notamment au niveau de ses infrastructures et de sa formation, faisant de la Section une équipe de patience et d’ambition, puisant sa force dans son identité locale.
2015-2016
La Section découvre le TOP 14. Neuf saisons plus tard, le club retrouve une première division qui ne contient plus que 14 clubs, et non 16, comme le club l’avait laissée en 2007.

2017
Réhabilitation du stade du Hameau avec l’apparition d’une nouvelle tribune Nord et l’agrandissement de la tribune Est (création d’un étage et extension des côtés).
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2018
Retour de l’équipe sur la scène européenne avec une demi-finale de Challenge Européen à Cardiff.

2021
Arrivée de Sébastien Piqueronies en tant que manager sportif.
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2024
Le club affiche une nouvelle signature « Conquérants en Vert et Blanc » mêlant ambitions et ancrage identitaire.

2025
La saison 24-25 marque l'avancée du projet palois avec à la clé une 8e place synonyme de qualification en Champions Cup pour la saison à venir. Une première pour la Section depuis 25 ans.


